C’est en 1991, que Gérard Bramoullé publiait un pamphlet anti écologique: La peste Verte. Dans une veine très libérale et hayekienne, il expliquait que l’écologie était le nouveau fascisme. Car l’écologie allait contraindre nos vies et pousser à détruire nos libertés que seul le sacro-saint marché pouvait sauvegarder. Avec leur idée de « sauver les générations futures « les écologistes allaient précipiter la société dans le totalitarisme. Les mécanismes du marché et des prix relatifs suffiraient à sauver la planète. Une ressource devenant rare son prix augmentera et amènera à sa substitution… En refusant toutes les réglementations qui ne peuvent que bloquer le marché Gérard Bramoullé déroule une écologie libérale avec un modèle de développement durable à soutenabilité faible où la substitution des ressources rares sera permise tout naturellement par le progrès technique et grâce au bon fonctionnement du marché. Une ode au marché dérégulé pour sauver la planète.
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