Je suis intervenu hier au Conseil Municipal du lundi 12 juillet pour faire entendre la colère des riverains face à la gestion calamiteuse du dossier du chemin d’Oc, sa fermeture et privatisation. Alors que la ville aurait pu se retrouver propriétaire du chemin dès la vente de l’université (puisque c’est la ville qui l’a autorisée et a déclassé la parcelle), elle se retrouve en situation de rétropédalage et cherche maintenant à récupérer un chemin au près d’un promoteur privé alors qu’il lui revenait naturellement.
Autre problème la ville ne propose aucune solution temporaire le temps des travaux. Les Ciq ont pourtant des alternatives à proposer.
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